Mardi 3 novembre 2 03 /11 /Nov 21:30

Appuyée sur ses coudes en arrière, Joséphine a posé l’un de ses pieds sur le rebord de la piscine, l’autre reste baigné dans l’eau fraîche ; ainsi Bobi caresse un cette cheville humide et pose son autre main sur la belle cuisse pleine dont la fraîcheur contraste avec le sol encore tiède de la terrasse. Cette position a pour effet de rendre encore un peu plus disponible la jolie chatte de Joséphine à la langue de son amant qui la fouille et aux regardeurs qui s’en délectent.

Pendant ce temps Estéban est rentré dans la maison négligeant ses préparatifs en cours et Bobi continue de se réjouir à jouer avec sa langue qui dessine les contours de la jolie chatte, en fouille les profondeurs avant d’exciter le clito qui se tend volontiers tandis que Joséphine s’abandonne de plus en plus. C’est dans cet état que la belle amante voit Estéban ressortir de la maison vêtu d’un simple string conçu tel un gant pour envelopper simplement verge et bourses sans les contraindre. Ainsi l’on peut constater que le bel Estéban, à la vue du beau plaisir qui lui est offert a commencé à bander, sa lourde queue imprimant au rythme de ses pas un balancement sans équivoque au beau fourreau de satin noir. Ce joli spectacle, empreint de promesses érotiques, lui a donné cette envie d’exhiber en toute indécence son corps doux animé par un esprit cochon à ses heures. S’approchant ainsi, Joséphine laisse aller son regard entre ce visage qui lèche son entre-cuisse et l’arrivée de ce beau garçon dont elle devine toute l’excitation. Estéban vient s’asseoir auprès d’elle, à genoux, les fesses sur ses talons, genoux écartés, il offre à la belle la vue d’un string dont l’étoffe se tend de plus en plus.  « Estéban vous m’avez l’air par trop contraint.. » dit Joséphine en posant, afin d’en mesurer la tension, la main sur le satin noir à travers duquel elle sent une tige dure qui grandit encore à cette belle sollicitation. Estéban reste sans mot, mais un long soupir de plaisir clairement avoué incite Joséphine à tirer un peu plus sur le tissu, pour libérer fesses pour que Joséphine le libère définitivement du morceau de satin devenu alors encombrant et inutile pour que le beau chibre totalement bandé s’expose entièrement au regard de Joséphine.




Joséphine se pose en levrette, offrant à son amant sa croupe cambrée et ouverte ; Bobi fourre alors de nouveau sa langue qui au contact de la chatte trempée laisse échapper des sons humides ; Estéban, sans l’avoir réalisé voit le visage de Joséphine au dessus de sa queue, une main le branle fermement, l’autre soupèse les lourdes couilles et sa langue dessine le déjà le contour du gland turgescent.

A quelques mètres, Elisabeth, confortablement installée dans un fauteuil se caresse en regardant la scène , un gode épais se dresse sur le guéridon.

Par Les Enivrés
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Dimanche 26 juillet 7 26 /07 /Juil 18:39

C’est l’automne, une fin de journée paisible, dehors une brise légère souligne le mouvement discret des arbres et de la nature.

 

A l’intérieur de la belle maison, le plancher fraîchement ciré craque sous les pas, la lumière est douce venue du soleil couchant de l’extérieur et influencée par les teintes douces qui couvrent les murs : tout est calme et volupté !

 

Dans le salon règne une atmosphère feutrée, quelques bougeoirs viennent donner un peu de lumière alors que dehors la pénombre envahit le parc, quelques ombre mystérieuses vacillent comme les flammes le long des murs .

 

Ce soir une fête se prépare.

 

Il est assis dans un profond fauteuil, vêtu d’un costume en lin et d’une chemise blanche tandis que sur le canapé rouge pourpre deux jeunes hommes silencieux boivent un whisky.

Comme leur hôte leur a demandé, ils sont entièrement nus, la lumière jouant à exalter le charme de leurs corps de beaux jeunes hommes soigneusement choisis par le maître des lieux.

 




Un grand tapis couvre une partie du plancher brun, un second profond fauteuil complète le salon ainsi qu’un pouf assez haut à côte de la table basse. Sur les murs des tableaux plus ou moins explicitement érotiques et quelques miroirs aux dimensions contrastées.

 

Comme il en était convenue et à l’heure précise la porte s’entrouvre :

Lui : Messieurs je vous présente Joséphine.

        Joséphine, voulez vous après avoir refermé la porte faire quelques pas dans la pièce, tourner sur vous même

        Pour que nous apprécions votre beauté ainsi parée et en guise de présentation silencieuse.

 

Joséphine s’exécute non qu’un certain trouble ne se perçoive à cette occasion. Tandis que craque doucement dans le silence le plancher de bois, les trois hommes ne quittent du regard l’élégante libertine. Son déshabillé de voile noir navigue sur ses formes et la transparence ne fait qu’ajouter érotisme et indécence à ce que serait la nudité. Les jeunes hommes apprécient les bas de soie noir et le porte-jarretelles qui soulignent de façon impeccable ses fesses pleines tandis que de face ceux-ci dévoilent de façon très malicieuse les lèvres nues de sa chatte déjà gonflée par l’excitation de cette mise en scène ; un joli triangle brun surplombe clairement ce petit trésor de plaisir.

 

Lui : Asseyez vous ma tendre Joséphine, j’espère que ces jeunes étalons que je vous offre ce soir seront à la

         Mesure de votre élégante gourmandise et je vous invite à en faire connaissance du regard tout en buvant

         Votre whisky préféré.

 

Joséphine constate que les jeunes hommes sont à la mesure de ce que Bobi lui avait proposé : des garçons au regard sain et sans effronterie au corps sans lourdeur avec encore un peu de fragilité de l’enfance. Seul leur sexe exprime l’adulte nouveau, des sexes longs et épais déjà a demi gonflés à la vue de Joséphine. C’était le souhait de Bobi : de beaux jeunes hommes fortement membrés pour que son plaisir visuel soit intense et dont la vue semble maintenant entraîner chez elle une réaction envieuse qu’elle dissimule mal.

 

Après quelques politesses d’usage,( eric et laurent étudiants en lettre à Lyon) Bobi se lève et appuie sur le bouton qui met en marche la chaîne sonore : un slow jazz au piano solo envahit la pièce :

 

        Messieurs, il est temps d’inviter Joséphine à danser. La voix est tranquille, apaisante.

 

Les deux garçons se lèvent et tendent la main à Joséphine qui se lève, à ce moment ses seins lourds valorisés par un soutien-gorge seins nus tendent le voile noir, les tétons arrogants pointent, elle sent les deux corps nus s’approcher Eric face à elle, Laurent derière. Elle passe son bras dans le dos d’eric et maladroitement en fait de même avec laurent  ; la danse lascive se poursuit, elle apprivoise leur odeur, ils embrassent ses épaules , sa nuque et son cou ; elle sent contre son ventre la verge d’Eric qui se tend et celle de Laurent qui, dans le voile, gonfle entre ses fesses.

Bobi : « il me semble que l’alternance serait très excitante, je vous suggère donc Eric de venir prendre la place de Laurent pour que Madame jouisse de vos différences… »Ainsi laurent et eric baisent-ils Joséphine en alternance, celle-ci prenant une queue dans sa bouche tandis que l’autre lui boure la chatte…

 

Bobi se délecte de ce beau spectacle dont il prend quelques photographies tandis que la caméra discrétement posée sur le guéridon ravivera à l’attention des deux amants le souvenir d’une soirée exceptionnelle…

 

Bobi mesurant les plaisirs à leur extase,  invite joséphine à s’allonger a nouveau sur le large pouf ; appuyée sur ses coudes ; les deux étalons viennent se branler de part et d’autre d’elle auprès de ses seins, Joséphine se doigte violemment en regardant ces beaux garçons se branler et les invitant du regard et de quelques mots à gicler fort et vite. Lorsque Eric ne peut plus se contenir une giclée de foutre arrose de part en part la poitrine de Joséphine.

 

Laurent excité par ce spectacle ne tarde pas à partir lui aussi et tous deux arrosent copieusement la libertine des seins jusqu’aux épaules et au cou. Tous deux finissent par étaler avec leur queue le sperme sur les seins…

 

S’ensuit un long silence étourdit de plaisir, les jeunes hommes ont quitté la pièce sans bruit.

 

Bobi s’est approche de sa Joséphine avec une étoffe soyeuse, a essuyé ses seins, puis l’a invitée à le suivre dans la pièce adjacente, lui a enlevé ses dessous avec ses soins. Un bain chaud parfumé à l’orange coule dans la grande baignoire.

 

Elle sait qu’en sortant du bain, Bobi l’attendra, nu dans le grand canapé pourpre du salon.

 

Par Les Enivrés
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Dimanche 26 juillet 7 26 /07 /Juil 18:12

 

 

La brune élégante s’installe confortablement dans le canapé du salon cossu, se prépare à recevoir un ou deux jeunes hommes, ses invités. Ses étudiants qu’elle initie à la cérémonie du thé et à quelques jolis coups de reins, le dimanche après-midi à l’heure où les jeunes hommes s’ennuient de la fin du week-end. Très joliment parée, elle est assez fière de mettre en scène ses charmes pour eux et surtout pour son amant . Elle aime qu’il la trouve délicieuse. Jusqu’à avoir envie de soupeser ses seins, de sentir leur volume sous ses mains. Il est amateur de poitrines généreuses et elle aime lui exposer la sienne, voluptueusement.

 

L’heure du thé au salon évoque en eux les jolis bordels où les bourgeois d’autrefois conduisaient leurs fils afin de les déniaiser. En attendant leurs invités, ils badinent, dans la tranquillité des choses heureuses qui les conduit chaque jour un peu plus loin sur les chemins de l’érotisme.

Il lui a conseillé le très joli petit haut noir dont le léger cintrage sous les seins met en valeur la générosité et la rondeur de sa poitrine. Dans leur conversation d’impatience, les chemins de la chair et de l’esprit se croisent entre eux avec bonheur., cette fois encore.

Avant de les accueillir et de les conduire vers elle, de les lui confier, de la regarder dans son rôle de belle initiatrice, il  a adressé aux deux jeunes étudiants, une photographie du très beau cul de sa dame, en guise d’invitation. L’angle de vue est délicieusement pornographique : afficher leur érotisme est leur manière à eux de s’affranchir : la photographie donne à leurs exhibitions et à leur indécence, une richesse qui les séduit.

 




Au dehors, sous le ciel bleu, il se contentera d’assister au spectacle. Pour l’instant, les étudiants prennent place, se délectent du thé. L’érotisme amoureux de leurs hôtes les attire : la jupe  ne laisse qu’un rempart très fin entre ses caresses à lui et sa peau à elle. Ils regardent des photographies d’une dame qui leur plaît à tous, dont ils  apprécient le serre-taille qui aurait eu belle allure dans un bordel. Tout le monde commence à jouer doucement à l’exhibition et à l’excitation : ses seins sont bien moulés sous le tissu délicat, elle les offre, exposés dans leur beau volume, au regard des deux jeunes hommes.

 

 

Par Les Enivrés
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Samedi 4 juillet 6 04 /07 /Juil 21:16

Nos envies

des photographies en robes très suggestives dans les rues de la ville.

Envies de se caresser du regard et des mains en public.

Envie de porter une voilette pour magnifier le visage, comme Garance dans LES ENFANTS DU PARADIS

Envie de tenues qui mettent en valeur ses beaux seins.

Il adore les transparences de ses tenues.

Ses tétons très se réjouissent de leurs promenades. Elle a des rondeurs comme son sourire. I

ll a envie d'avoir ses seins au-dessus de son visage et de les faire bouger avec sa langue avant de lui donner des coups de reinsen levrette.

Il a envie qu'elle parte faire des emplettes entièrement nue sous sa robe noire.


Il s'installe à la terrasse d'un café et imagine qu'elle est là, très aimante, vêtue de sa robe blanche très décolletée, lisant la presse. Elle est absente mais il s'est installé là, avec leurs souvenirs amoureux, sensuels et cochons.


Par Les Enivrés
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Dimanche 28 juin 7 28 /06 /Juin 19:07

Nos recherches appliquées, sensuelles et amoureuses, parviennent rarement à nous faire découvrir une boutique de lingerie digne de devenir l'un de nos fournisseurs en adéquation avec nos délicatesses érotiques. Il en est parfois une, riche en parures comme celles que nous aimons. Nous voilà prompts à regarder, à rêver au modèle. Procéder à quelques essayages, quelques réglages, le plaisir de se trouver belle et sexy devant le miroir... le plaisir de se montrer, de se laisser photographier...

Quand alentour est triste, alors les femmes devraient porter leurs plus belles toilettes, de beaux et profonds décolletés qui mettraient leur gorge en valeur et leur coeur à fleur d'air, à fleur de vie. Les garçons s'habilleraient de frais et s'en iraient flirter avec les chemins en creux et le fil de l'eau, là où sont les parfums enivrants. Tous boiraient bon et un peu trop. De leurs gestes amples, de leurs mots rieurs ou pleurés, de leurs enlacements fraternels, ils marqueraient territoire de la vie.

Par Les Enivrés
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